Conseil de la nation : Azouz Nasri salue la nouvelle étape dans la politique sociale de l’État

dknews
3 Min Read

Le Conseil de la nation a vécu, hier lundi, une séance marquante lors de la présentation et du débat du projet de loi de finances 2026.
Le président de l’institution, Azouz Nasri, a profité de cette occasion pour exprimer une profonde satisfaction quant aux décisions annoncées la veille par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au terme du Conseil des ministres.
Selon lui, les mesures arrêtées constituent un virage social important, révélateur d’une volonté claire : améliorer concrètement les conditions de vie des citoyens et répondre à leurs attentes les plus pressantes.
Dans une allocution empreinte de solennité, Azouz Nasri a qualifié ces décisions « d’historiques et d’inédites », insistant sur la portée sociale et politique de l’augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG), porté de 20 000 à 24 000 DA dès janvier 2026, ainsi que de la revalorisation de l’allocation chômage, désormais fixée à 18 000 DA.

Selon lui, ces choix ne relèvent ni de la conjoncture ni du symbole, mais d’une stratégie cohérente orientée vers la justice sociale, l’équité et la consolidation du pouvoir d’achat des ménages.
Le président du Conseil de la nation a salué un geste présidentiel qui, à ses yeux, traduit la cohérence d’un engagement : celui d’un État garant des intérêts du peuple et acteur actif du progrès social.
Il a affirmé que ces mesures, au-delà de leur effet immédiat, constituent « de nouveaux acquis majeurs » à inscrire au bilan d’un mandat tourné vers la prise en charge des préoccupations citoyennes et l’amélioration des conditions de vie.
Au-delà du volet social, Azouz Nasri a évoqué la dimension mémorielle et diplomatique de la Conférence internationale sur les crimes coloniaux en Afrique, organisée à Alger.

Une rencontre d’envergure continentale, placée sous le haut patronage du président de la République et tenue en collaboration avec l’Union africaine. Le président du Conseil de la nation s’est déclaré « fier du rôle moteur » joué par la diplomatie algérienne dans la défense des causes africaines et la préservation de la mémoire collective du continent, rappelant que « le passé de l’Afrique ne s’effacera jamais » et que l’Algérie demeure, par conviction et par histoire, l’un des pays les plus engagés dans la protection des droits des peuples africains.
Ainsi, entre engagement social, renforcement du pouvoir d’achat, affirmation diplomatique et travail mémoriel, Azouz Nasri a dressé le portrait d’un État résolument tourné vers la justice, la dignité et la solidarité nationale et africaine.
R.N

Share This Article
Leave a Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *