Université Sidi Bel Abbes : signature d’un accord de partenariat entre les universités Djilali Liabes et de Sousse

L’Université Djilali Liabes de Sidi Bel Abbès a signé un accord de partenariat avec l’Université de Sousse (Tunisie) dans le cadre du renforcement de la coopération académique et scientifique entre l’Algérie et la Tunisie, a-t-on appris, lundi, auprès du service de communication et d’information de l’Université de Sidi Bel Abbes.
Selon la même source, cet accord a été signé, à la fin de la semaine dernière, en présence du recteur de l’Université de Sidi Bel Abbes, M. Bouziani Merahi, des responsables de l’Université et d’un représentant de l’Université de Sousse, où les mécanismes de mise en œuvre de ce partenariat ont été discutés.
Cet accord vise à renforcer la coopération académique et scientifique entre les deux universités, ainsi qu’à améliorer les modalités de gestion des services partagés entre elles, selon la même source, ajoutant que ce partenariat constitue une étape importante pour le développement des programmes éducatifs et de recherche, ce qui bénéficiera aux étudiants, aux enseignants et à l’ensemble du personnel universitaire.
Pour rappel, l’Université Djilali Liabes avait signé, début février, un accord de partenariat et de coopération avec l’Entreprise nationale des industries électroniques (ENIE) de Sidi Bel Abbes afin de renforcer la coopération dans le domaine de la recherche, des idées et des produits électroniques et de rechercher de solutions efficaces pour permettre le développement technologique et suivre les dernières évolutions dans ce domaine tout en en assurant le contrôle.
L’Université Djilali Liabes, classée première dans divers classements récents des universités nationales, maghrébines et africaines, oeuvre à renforcer ses relations de coopération et de partenariat en signant des accords de collaboration avec des universités et des entreprises industrielles, afin de bénéficier des compétences, projets et laboratoires de recherche de l’université, d’échanger des expériences et de permettre aux chercheurs d’appliquer leurs travaux de recherche sur le terrain.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre des orientations des hautes autorités du pays pour profiter des compétences universitaires afin de développer la production locale et soutenir l’économie nationale.