Dans un climat d’ouverture et de confiance renouvelée, le ministre de la Communication, M. Zoheir Bouamama, a tenu une rencontre d’une importance particulière avec les directeurs des organes de presse privée. Cet échange, empreint de franchise et de respect mutuel, a confirmé la volonté des pouvoirs publics de bâtir une relation solide et équilibrée avec l’ensemble des acteurs du paysage médiatique national. Dès les premiers instants, le ton était donné : transparence, écoute et partenariat. M. Bouamama a réaffirmé avec conviction que la presse privée constitue une composante essentielle de la dynamique démocratique et du développement national. Elle incarne la pluralité d’opinions, la vitalité du débat public et la capacité du pays à évoluer dans un environnement médiatique en constante mutation.
Le ministre a mis en avant la responsabilité partagée entre l’État et les médias, rappelant que la liberté d’expression s’accompagne toujours d’un devoir de professionnalisme, d’éthique et de rigueur. Dans cette optique, il a souligné la nécessité de moderniser les pratiques journalistiques, de renforcer la formation continue et d’adapter les rédactions aux nouveaux défis numériques et technologiques. Fidèle à la vision du Président de la République, M. Bouamama a également mis l’accent sur la transparence et la régulation du marché publicitaire, un enjeu majeur pour garantir la viabilité économique des journaux privés. Il a plaidé pour un écosystème médiatique équilibré, où l’État joue pleinement son rôle de facilitateur, sans jamais interférer dans le contenu éditorial, mais en soutenant les conditions favorables à une presse forte et crédible. Les directeurs de la presse privée ont, pour leur part, salué cette approche participative et pragmatique, qui rompt avec les pratiques du passé.
Ils ont exprimé leur satisfaction de voir le ministère privilégier le dialogue direct et la concertation permanente, gages d’une relation saine et constructive au service de l’intérêt national. Cette rencontre marque une étape charnière pour le secteur de la communication. Elle symbolise l’avènement d’une nouvelle ère fondée sur la responsabilité, la complémentarité et la confiance. Par cette initiative, le ministre Zoheir Bouamama a su poser les bases d’un partenariat durable entre les institutions publiques et la presse privée, dans le respect de la déontologie et au bénéfice du citoyen. Plus qu’un simple échange, ce rendez-vous a illustré une volonté claire : celle de hisser la presse algérienne à la hauteur des ambitions du pays, en la rendant plus forte, plus moderne et plus engagée. À travers son écoute, sa vision et son sens du dialogue, Zoheir Bouamama incarne cette génération de responsables convaincus que la communication est d’abord un pont entre l’État et la société, entre l’information et la vérité, entre le devoir et la liberté.
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