L’année judiciaire 2025-2026 s’est ouverte, jeudi à la Cour d’Alger, et ce après son ouverture dimanche dernier à la Cour suprême par le président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), M. Abdelmadjid Tebboune.
Ont assisté à la cérémonie d’ouverture, le premier président de la Cour suprême, Tahar Mamouni, le ministre, wali de la wilaya d’Alger, Mohamed Abdenour Rabehi, la présidente de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, Mme Salima Mousserati, le président de l’Autorité nationale de la protection des données à caractère personnel (ANPDP), Samir Bourehil, ainsi que des représentants de la famille judiciaire et des parlementaires.
A cette occasion, le président de la Cour d’Alger, M. Mohamed Bouderbala a souligné que l’ouverture de la nouvelle année judiciaire était « une halte pour évaluer ce qui a été accompli l’année dernière et une occasion de renouveler l’engagement pour la consécration de l’Etat de droit, la préservation des droits et des libertés, et le renforcement de la confiance du citoyen en la justice ».
Il a rappelé « les orientations judicieuses » du président de la République, soulignant la détermination de « mettre en œuvre sa vision éclairée pour l’instauration d’une justice efficace, intègre et moderne, qui puise sa force dans la Constitution et répond aux aspirations du citoyen ».
Il a souligné que les orientations données par le président de la République à l’ouverture de la nouvelle année judiciaire à la Cour suprême constituent « la feuille de route de la nouvelle année judiciaire ».
Pour sa part, le procureur général près la Cour d’Alger, M. Mohamed El Kamel Ben Boudiaf, a précisé que l’année écoulée a connu la réalisation d’importantes actions judiciaires, tant sur le plan de l’accélération du règlement des affaires que des services assurés aux citoyens, rappelant que la numérisation du secteur de la justice « a contribué à l’amélioration de la qualité du service, notamment en matière de présentation des différents documents et services ».
L’autorité judiciaire « veille à la protection et à la préservation des droits et libertés, en consécration de l’Etat de droit et en consolidation des principes du procès équitable ».
Lors de la cérémonie d’ouverture, une minute de silence a été observée à la mémoire des martyrs des massacres du 17 octobre 1961.

 
			 
			 
		 
		 
		