Palestine-UNRWA : l’entité sioniste doit permettre à l’agence onusienne d’acheminer l’aide

dknews
9 Min Read

L’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a lancé un énième appel à l’entité sioniste pour qu’elle laisse l’agence onusienne faire son travail dans la bande de Ghaza en lui permettant d’acheminer l’aide humanitaire au territoire, bloquée depuis le 2 mars en Jordanie et en Egypte. « Seule l’UNRWA peut fournir une aide vitale à l’échelle dont Ghaza a besoin. Nous avons le réseau, l’expérience et la confiance de la communauté » internationale, a écrit l’agence onusienne dans un message publié lundi sur les réseaux sociaux.

L’entité sioniste « doit permettre à l’UNRWA d’acheminer la grande quantité d’aide bloquée dans nos entrepôts en Jordanie et en Egypte depuis le 2 mars », a-t-elle poursuivi. Et de conclure dans son message : « Laissez l’UNRWA faire son travail ». L’interdiction par l’entité sioniste aux camions d’aides à entrer dans l’enclave palestinienne a provoqué une crise alimentaire sans précédent, à Ghaza entraînant la mort en martyres de centaines de personnes de famine, particulièrement des enfants et des femmes. Le 22 août dernier, les Nations unies avaient déclaré officiellement l’état de famine dans l’enclave palestinienne. Le bilan de l’agression génocidaire menée par les forces de l’occupation sioniste contre la bande de Ghaza, depuis le 7 octobre 2023, s’est alourdi à 67.806 martyrs et 170.066 blessés, selon les autorités sanitaires palestiniennes. Un accord de cessez-le-feu, conclu entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l’entité sioniste, est entré en vigueur jeudi dernier. La première phase de cet accord prévoit la fin des agressions sionistes, le retrait des forces d’occupation, ainsi que l’accès à l’aide humanitaire et l’échange des prisonniers.

Cessez-le-feu à Ghaza : l’UE s’engage à redéployer sa mission de surveillance du passage frontalier Rafah

La cheffe de la politique étrangère de l’Union européenne (UE), Kaja Kallas, a déclaré lundi que l’UE était prête à relancer une mission civile chargée de surveiller le passage frontalier Rafah entre Ghaza et l’Egypte, après l’entrée en vigueur de l’accord de cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne, entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l’entité sioniste. « Le plan de paix nécessite un soutien international fort pour aboutir. L’UE est prête à faire sa part. Mercredi prochain, elle relancera une mission civile chargée de surveiller le passage frontalier entre Ghaza et l’Egypte », a déclaré Kallas dans un message posté sur les réseaux sociaux.

Soulignant que « la consolidation de la paix à Ghaza pourrait s’avérer extrêmement complexe », elle a fait remarquer que la mission civile pouvait jouer un rôle important dans le soutien au cessez-le-feu. La première phase de l’accord de cessez-le-feu, proposé par le président américain, Donald Trump, prévoit la fin des agressions sionistes, le retrait des forces d’occupation, ainsi que l’accès à l’aide humanitaire et l’échange des prisonniers. Depuis le 7 octobre 2023, les agressions génocidaires de l’armée de l’occupation sioniste contre la bande de Gahza, ont fait plus de 67 000 martyrs et 170 000 blessés parmi les Palestiniens, principalement des femmes et des enfants.

83 prisonniers palestiniens de la prison d’Ofer libérés par l’entité sioniste dans le cadre de la 1ère phase de l’accord de cessez-le-feu

Les forces de l’occupation sionistes ont libéré lundi 83 prisonniers palestiniens de la prison d’Ofer, à l’ouest de Ramallah en Cisjordanie occupée, dans le cadre de la première phase de l’accord de cessez-le-feu conclu dans la bande de Ghaza, après deux ans d’agression génocidaire sioniste. Selon la première phase du plan, tous les prisonniers sionistes dans la bande de Ghaza seront libérés, en échange de la libération par les autorités d’occupation de 250 prisonniers palestiniens condamnés à de lourdes peines, voire à la réclusion à perpétuité : 83 de la prison d’Ofer, à l’ouest de Ramallah, et 167 de la prison de Waktziot, dans le Néguev, a précisé l’agence de presse Wafa. Plus tôt dans la matinée, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé avoir reçu les 20 prisonniers de guerre sionistes dans la bande de Ghaza en deux groupes et les avoir remis aux autorités d’occupation. Selon les organisations de prisonniers palestiniens, le nombre de détenus dans les prisons sionistes dépasse les 11.000, souffrant de conditions catastrophiques, notamment la torture, la famine et la négligence médicale systématique, qui ont conduit à la mort de plusieurs personnes en captivité.

Depuis le 7 octobre 2023, les forces d’occupation sionistes ont commis des crimes génocidaires dans la bande de Ghaza, entraînant le martyre de près de 68.000 Palestiniens, la plupart des enfants et des femmes, et une famine qui a coûté la vie à 463 citoyens, dont 157 enfants. Un accord de cessez-le-feu, conclu entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l’entité sioniste, est entré en vigueur jeudi dernier. La première phase de cet accord prévoit la fin des agressions sionistes, le retrait des forces d’occupation, ainsi que l’accès à l’aide humanitaire et l’échange des prisonniers.

Cessez-le-feu : le CICR reçoit le deuxième groupe de prisonniers de guerre sionistes à Ghaza

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé avoir reçu lundi le deuxième groupe composé de 13 prisonniers de guerre sionistes dans la bande de Ghaza, dans le cadre de la première phase de l’accord de cessez-le-feu, conclu jeudi dernier entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l’occupant, après deux ans d’agression génocidaire sioniste. Selon l’agence de presse Wafa, le CICR a annoncé dans la matinée avoir reçu le premier groupe de sept prisonniers sionistes dans la bande de Ghaza et les avoir remis aux autorités de l’occupation. En échange, les autorités sionistes libéreront 250 prisonniers palestiniens détenus dans leurs geôles purgeant des peines de prison à perpétuité, ainsi que 1.718 prisonniers de la bande de Ghaza, arrêtés après le début de l’agression génocidaire sioniste le 7 octobre 2023.

Selon les organisations de prisonniers palestiniens, le nombre de détenus dans les prisons sionistes dépasse les 11.000, souffrant de conditions catastrophiques, notamment la torture, la famine et la négligence médicale systématique, qui ont conduit à la mort de plusieurs personnes en captivité. De plus, le nombre de femmes détenues a atteint 53, dont trois de Ghaza, et deux filles. On compte environ 400 enfants détenus dans les prisons d’Ofer et de Megiddo, tandis que le nombre de détenus sans jugement a atteint environ 3.380 en octobre dernier. Depuis le 7 octobre 2023, les forces d’occupation sionistes ont commis des crimes génocidaires dans la bande de Ghaza, entraînant le martyre de plus de 67.806 Palestiniens, la blessure de plus de 170.000 autres, la plupart des enfants et des femmes, et une famine qui a coûté la vie à 463 citoyens, dont 157 enfants. Un accord de cessez-le-feu, conclu entre le mouvement Hamas et l’entité sioniste, est entré en vigueur jeudi dernier. La première phase de cet accord prévoit la fin des agressions sionistes, le retrait des forces d’occupation, ainsi que l’accès à l’aide humanitaire et l’échange des prisonniers.

Share This Article
Leave a Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *