La Conférence virtuelle « Saat Hiwar », organisée par le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), a reçu le ministre de l’Education nationale, Mohammed Seghir Sadaoui, dans le cadre d’une rencontre visant à « consacrer la culture du dialogue en tant qu’approche permanente de communication entre les jeunes et les différentes institutions nationales ».
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du programme annuel du CSJ (2025-2026), notamment dans son volet relatif au renforcement de la confiance entre les jeunes et l’administration, indique vendredi un communiqué du ministère de la jeunesse, qui précise que cette conférence intervient également dans le cadre d’une série de rencontres périodiques destinées à « ouvrir des débats constructifs sur les questions des questions liées à la jeunesse ».
Au début des travaux, le ministre de la Jeunesse, chargé du CSJ, M. Mustapha Hidaoui, a expliqué que l’objectif de cette initiative est « d’ouvrir des espaces permanents de dialogue pour les jeunes avec les différents acteurs, afin de renforcer la discussion et de créer de meilleures conditions pour leur implication dans la prise de décision, à travers les mécanismes démocratiques participatifs ».
De son côté, M. Sadaoui a insisté sur « l’intérêt particulier » que l’Etat accorde au secteur de l’éducation, étant « la pierre angulaire de l’édification de l’être humain », et ce, à travers « l’ancrage des valeurs de citoyenneté, d’appartenance et de responsabilité au sein de l’espace scolaire », ajoute la même source.
Cette conférence virtuelle s’est distinguée par « une grande interaction de la part des jeunes participants, de l’intérieur et de l’extérieur du pays », où des « questions pertinentes sur les mécanismes de soutien des jeunes dans la vie scolaire et éducative » ont été soulevées, en sus de la présentation « de suggestions pratiques pour renforcer leur présence dans les différents établissements éducatifs ».
Ils ont également salué cette initiative qui leur a « ouvert un véritable espace d’expression et de discussion directe avec un responsable du Gouvernement », conclut la même source.
