La ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mme Nacima Arhab, a présidé, mardi, les travaux de la conférence nationale du secteur de la Formation et de l’Enseignement professionnels, qui a réuni les directeurs du secteur à travers les différentes wilayas du pays, indique un communiqué du ministère.
Après l’allocution d’ouverture de la ministre, la conférence a donné lieu à des sessions au cours desquelles ont été abordées plusieurs thématiques, à commencer par l’évaluation de l’année de formation 2024-2025, à travers la présentation du bilan quantitatif et qualitatif des six circonscriptions régionales (Nord-Est, Nord-Centre, Ouest, Sud-Ouest, Sud-Est, Sud-Centre) ».
Les sessions ont également porté sur la préparation de la rentrée professionnelle 2025-2026, à travers « la présentation de la nouvelle structuration du portefeuille des programmes de formation et d’enseignement professionnels, en mettant l’accent sur la disponibilité pédagogique, structurelle et en ressources humaines, ainsi que sur les opération stratégique prioritaires ». Il a aussi été question du « renforcement de l’employabilité à travers la préparation des salons régionaux de l’emploi prévus en octobre 2025 ».
A cet égard, l’accent a été mis sur le rôle des Centres de développement de l’entrepreneuriat (CDE) dans le soutien à l’insertion des diplômés et leur accompagnement dans leurs parcours professionnels.
Au cours de cette réunion, le dossier de la numérisation a été abordé, en tant que critère d’efficacité de la gestion et de l’administration. La ministre a affirmé à ce sujet que « la numérisation deviendra un outil essentiel pour améliorer l’efficacité de la gestion du secteur et un indicateur principal pour mesurer la qualité des services et la réactivité, à même de renforcer la transparence et contribuer à améliorer les performances aux niveaux central et régional ».
Au terme de la rencontre, Mme Arhab a souligné la nécessité de renforcer la coordination entre les différentes structures centrales et régionales du secteur, afin de hisser la qualité de la formation et de garantir son adaptation aux exigences du marché national de l’emploi, selon le communiqué.
