L’Algérie dans une nouvelle ère : un développement intégré et durable au service des citoyens

dknews
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L’Algérie vit aujourd’hui un moment charnière de son histoire moderne. Après des décennies marquées par des défis multiples, le pays s’engage dans une trajectoire de développement intégrée, inclusive et durable. Sous l’impulsion du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et grâce à des réformes structurelles profondes, les fruits de cette transformation commencent à se matérialiser dans la vie quotidienne des Algériens. Lundi, à Alger, lors du lancement officiel du programme d’Appui au développement local intégré (ADIL), le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, Saïd Sayoud, a réaffirmé que « l’Algérie vit, dans toutes ses régions, une nouvelle ère de développement, dont les résultats positifs se reflètent clairement à travers les projets de grande envergure et les programmes intensifs menés dans plusieurs domaines ». Cette déclaration n’est pas une simple annonce politique. Elle s’accompagne d’initiatives concrètes, de chantiers lancés à travers tout le territoire et d’un engagement visible de l’État pour construire une Algérie moderne, résiliente et prospère.

Une vision présidentielle centrée sur le citoyen

Depuis son accession à la magistrature suprême, Abdelmadjid Tebboune a fait du citoyen la pierre angulaire de son programme. Sa feuille de route place la satisfaction des besoins fondamentaux de la population au centre des politiques publiques : logement décent, accès aux soins de qualité, éducation moderne, infrastructures de proximité et développement économique local. Le ministre Sayoud l’a rappelé : « L’Algérie enregistre aujourd’hui des indicateurs économiques prometteurs et des transformations positives concrètes, perceptibles par tous. » Ces avancées sont le fruit d’une gouvernance qui s’appuie sur une gestion rigoureuse des ressources, une mobilisation efficace du budget de l’État et un suivi permanent de l’exécution des projets.

Les réalisations ne se limitent pas aux grandes villes.

Elles concernent aussi les zones rurales, les communes éloignées et les régions longtemps marginalisées. L’approche adoptée se veut équitable et inclusive, garantissant à chaque citoyen, où qu’il réside, de bénéficier des efforts de développement national.

Logement, infrastructures et services sociaux : des progrès visibles

Le logement reste l’un des secteurs où les résultats sont les plus tangibles. Des milliers d’unités sont livrées chaque année, allant des logements sociaux aux formules de location-vente, en passant par les logements promotionnels. Ces programmes, financés en grande partie par le budget de l’État et appuyés par le Fonds national du logement, visent à répondre à une demande pressante tout en réduisant la crise qui a longtemps pesé sur de nombreuses familles. Parallèlement, les infrastructures connaissent un essor remarquable. Autoroutes, voies express, chemins de fer, ports et aéroports sont modernisés ou construits ex nihilo. Ces investissements structurants ne sont pas seulement destinés à faciliter la mobilité des citoyens ; ils visent aussi à renforcer l’attractivité économique du pays et à stimuler les échanges commerciaux. La santé et l’éducation, piliers du développement humain, bénéficient également d’une attention particulière. De nouveaux hôpitaux équipés de technologies modernes sont inaugurés, tandis que des écoles et universités voient le jour pour accueillir une jeunesse nombreuse et ambitieuse. Le secteur de la santé, notamment, fait l’objet d’investissements visant à rapprocher les services des citoyens et à réduire les inégalités territoriales dans l’accès aux soins.

Un effort financier colossal et une solidarité nationale mobilisée

Le ministre Sayoud a rappelé que ces avancées sont le fruit d’efforts financiers considérables. Outre le budget de l’État, les collectivités locales mobilisent leurs propres ressources, renforcées par le Fonds de solidarité et de garantie des collectivités locales. Ce mécanisme permet de financer des projets intégrés, touchant toutes les communes sans distinction. Cette approche solidaire traduit la volonté des pouvoirs publics d’éviter toute marginalisation. Elle permet à des communes disposant de ressources limitées de bénéficier de programmes structurants, favorisant ainsi une répartition équilibrée des richesses et des opportunités à l’échelle nationale.

Réformes institutionnelles : moderniser la gouvernance locale

L’une des grandes priorités de l’État demeure la modernisation du système de gestion des collectivités locales. Le gouvernement prépare une réforme globale des codes communal et de wilaya, qui vise à renforcer la décentralisation et à conférer plus d’autonomie aux assemblées locales élues. L’objectif est double : améliorer l’efficacité des services publics et rapprocher la prise de décision des citoyens. Selon le ministre, cette réforme introduira des modes innovants d’encadrement, renforcera la coopération intercommunale et instaurera des règles favorisant une gestion optimisée des moyens matériels et financiers. La société civile est appelée à jouer un rôle central dans ce processus. Elle sera impliquée non seulement dans l’identification des priorités locales mais aussi dans la mise en œuvre et le suivi des projets. Cette implication constitue une avancée majeure vers une gouvernance participative, transparente et inclusive.

L’ADIL : une vitrine de coopération et de développement local

Le lancement du programme d’Appui au développement local intégré (ADIL) illustre parfaitement cette nouvelle approche. Menée dans le cadre d’un partenariat tripartite entre le ministère de l’Intérieur, l’Union européenne et les Pays-Bas, cette initiative vise à renforcer les capacités institutionnelles et humaines de douze communes réparties entre les wilayas de Biskra, Tébessa, Tiaret et Mostaganem. Ce programme n’est pas une simple assistance technique. Il s’agit d’un véritable laboratoire d’expérimentation, où les communes concernées bénéficient d’un accompagnement sur mesure pour améliorer leur gestion, diversifier leurs ressources et promouvoir des projets générateurs de richesse et d’emplois. Le ministre a insisté sur l’importance de la durabilité et de la création d’emplois stables : « La pérennité des projets inscrits et la contribution à la dynamique socio-économique locale doivent être la priorité de toutes les parties prenantes. »

Diversification économique et création de richesses locales

Un autre objectif central est la diversification des économies locales. Dans un contexte marqué par la dépendance historique aux hydrocarbures, il est impératif de développer de nouveaux secteurs d’activité au niveau local : agriculture moderne, industrie légère, tourisme, artisanat, énergies renouvelables. Les communes doivent devenir de véritables pôles de création de richesse et d’emplois, en s’appuyant sur leurs spécificités et leurs potentialités propres. L’État, à travers ses politiques publiques, offre un cadre favorable, mais la réussite dépend aussi de l’implication des élus locaux, des entrepreneurs et de la société civile.

Une société civile actrice du développement

L’État mise sur l’implication active des organisations de la société civile. Associations locales, comités de quartiers, organisations professionnelles et mouvements de jeunes sont invités à participer à la conception et à la réalisation des projets de développement. Cette démarche inclusive permet d’adapter les programmes aux besoins réels des citoyens, tout en renforçant le sentiment d’appartenance et de responsabilité collective. Elle marque une rupture avec une gestion centralisée et descendante, en ouvrant la voie à une véritable démocratie participative au niveau local. L’Algérie avance ainsi vers une nouvelle étape de son développement, où les efforts conjoints de l’État, des collectivités locales, des partenaires internationaux et de la société civile convergent vers un objectif commun : bâtir une nation moderne, prospère et équitable. Les indicateurs économiques prometteurs, les chantiers lancés à travers le pays, les réformes en cours et la mobilisation nationale témoignent d’une dynamique irréversible. Certes, des défis persistent : chômage, bureaucratie, déséquilibres régionaux. Mais la trajectoire est tracée et les fondations d’un développement durable sont posées. « Nous avons engagé une nouvelle ère de développement. Les résultats sont déjà visibles, mais nous devons poursuivre nos efforts pour garantir la pérennité et l’efficacité de nos actions », a conclu le ministre Sayoud.

L’Algérie vit un moment historique. Les réformes engagées, les projets réalisés et la vision à long terme du président Tebboune inscrivent le pays dans une dynamique de progrès durable. La combinaison d’un développement économique diversifié, d’une gouvernance locale modernisée et d’une implication citoyenne accrue constitue la clé de cette nouvelle ère. L’avenir de l’Algérie se construit au présent, avec la conviction que chaque commune, chaque citoyen et chaque acteur institutionnel a un rôle essentiel à jouer. Plus qu’une promesse, le développement devient une réalité partagée, marquant l’entrée définitive de l’Algérie dans un cycle de prospérité et de modernité.

ABED  MEGHIT

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