À New York, au prestigieux siège des Nations unies, l’Algérie vient de franchir une étape décisive dans son engagement pour la préservation de l’environnement mondial.
Le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, M. Ahmed Attaf, a procédé, samedi, à la signature officielle de « l’Accord relatif à la Convention des Nations unies sur le droit de la mer concernant la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale » (BBNJ).
Cette signature n’est pas un simple acte protocolaire. Elle traduit la volonté ferme de l’Algérie d’apporter sa contribution à la sauvegarde des océans, véritables poumons bleus de la planète.
L’événement, auquel a pris part Mme Elinor Hammarskjold, Secrétaire générale adjointe aux affaires juridiques et Conseillère juridique des Nations unies, marque un engagement clair pour une gouvernance équitable des espaces marins internationaux.
L’accord vise à renforcer la protection de la biodiversité en haute mer et à garantir une exploitation rationnelle, durable et bénéfique pour l’humanité entière.
Il s’inscrit également dans la continuité de la vision du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui a toujours insisté sur le rôle actif que doit jouer l’Algérie dans les grandes questions planétaires, en particulier celles liées au développement durable, au climat et à la préservation des ressources naturelles.
En apposant sa signature, M. Ahmed Attaf a rappelé que l’Algérie, fidèle à ses engagements internationaux, entend défendre une gestion partagée et équitable des richesses marines, afin que les générations futures puissent en bénéficier sans compromettre les équilibres naturels. Cette démarche consolide l’image d’un pays responsable et acteur majeur des débats environnementaux mondiaux.
