La Chine s’est dite « choquée » mardi par les frappes sionistes sur un hôpital du sud de la bande de Ghaza qui ont fait au moins 20 martyrs lundi dans l’enclave palestinienne, parmi lesquels cinq journalistes.
« Nous sommes choqués et nous condamnons le fait qu’une fois de plus, malheureusement, des membres du personnel médical et des journalistes aient trouvé la mort dans ce conflit », a déclaré devant la presse à Pékin un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun.
« La Chine est très inquiète devant la situation à Ghaza », a-t-il dit lors d’un point de presse quotidien, appelant l’entité sioniste à « arrêter immédiatement ses opérations militaires à Ghaza, conclure le plus tôt possible un cessez-le-feu complet et durable, rétablir intégralement l’entrée de l’aide humanitaire, et empêcher une crise humanitaire de plus grande ampleur… ».
« Nous nous opposons et condamnons tous les agissements qui portent atteinte aux populations civiles, endommagent les installations civiles et violent la loi internationale, y compris les actes de violence contre les journalistes », a-t-il encore déclaré.
Plusieurs pays et organisations internationales ont condamné les frappes sionistes sur l’hôpital Nasser à Khan Younès, au sud de la bande de Ghaza, qui ont fait au moins 20 martyrs dont cinq journalistes.

 
			 
			 
		 
		 
		