Un nouveau cursus de formation en Langue arabe a été ouvert à l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla (UKMO), au titre de la nouvelle saison universitaire 2025/2026, indique un communiqué de cette institution de l’enseignement supérieur.
Inscrite dans le cadre de la stratégie nationale de planification proactive visant à combler le déficit attendu en matière d’encadrement dans le secteur de l’éducation nationale, cette nouvelle filière de formation universitaire prévoit l’inscription cette année de plus de 350 nouveaux bacheliers (session 2025), en vue de répondre aux besoins en la matière du secteur de l’éducation, précise le document, dont une copie a été remise mardi à l’APS. L’ouverture de cette spécialité, formation à la carte pour le secteur de l’éducation, a pour objectif d’associer l’université dans la formation des encadreurs, notamment des filières principales, dont la langue arabe, selon le programme pédagogique en vigueur dans les écoles normales supérieures (ENS), poursuit le communiqué.
S’agissant des informations relayées sur les réseaux sociaux faisant état d’un transfert du département de Langue arabe ou de la faculté vers la wilaya d’El-Oued, l’UKMO les qualifie d »’infondéee », expliquant »qu’il s’agit d’un gel provisoire, en attendant l’achèvement des travaux en cours au niveau de la nouvelle faculté qui offrira une capacité d’accueil adéquate des étudiants ». Le département de Langue arabe, ajoute le communiqué, « fait partie intégrante de l’UKMO » et la décision qui a été prise intervient »en application de dispositions organisationnelles temporaires pour répondre aux priorités nationales ». L’UKMO, en tant qu’institution citoyenne au service de la société, confirme une fois de plus son total engagement à accompagner le projet national et mobilisera tous les moyens humains et matériels pour sa faisabilité et sa réussite, à l’effet de consolider la parfaite synergie entre les secteurs de l’enseignement supérieur et de l’éducation nationale, et de contribuer à l’amélioration de la qualité et la pérennité de l’enseignement, conclut le texte.
