Les activités de la 8e édition du Festival national de la poésie des jeunes ont été ouvertes, jeudi au théâtre régional » Djilali Abdelhalim » de Mostaganem, avec la participation d’environ 80 poètes issus de 32 wilayas.
La cérémonie d’ouverture de cette manifestation culturelle, placée sous le slogan » Mon pays, ma fierté et mon honneur « , s’est déroulée en présence des poètes en compétition dans les trois catégories du festival qui sont la poésie en arabe classique, la poésie populaire (melhoun) et la poésie en langue amazighe.
Intervenant à l’ouverture de cette manifestation, le directeur local de la Jeunesse et des Sports, Blidi Touati, a indiqué que cette édition coïncide avec la célébration du 63e anniversaire des fêtes de l’Indépendance et de la Jeunesse, constituant ainsi » une occasion de libérer les mots, les plumes et les expressions pour chanter la patrie « .
Selon le même responsable, ce rendez-vous littéraire constitue » une opportunité pour les jeunes poètes, dans cette ville de poésie, de culture et d’authenticité, de perfectionner leurs talents et de s’ouvrir aux diverses expériences poétiques à travers le pays « .
En marge du festival, se tiendra également la 8e conférence nationale sur la poésie des jeunes, avec la participation d’enseignants et de chercheurs spécialisés.
Pour rappel, l’édition précédente, tenue fin 2024, avait couronné Amine Boukhari de la wilaya de Mostaganem dans la catégorie de poésie en arabe classique, de Attallah Bassam de la wilaya de M’sila pour la poésie melhoun et de Belkacem Azzeddine Gtaia de la wilaya de Biskra pour la poésie amazighe.
Organisé par la direction de la Jeunesse et des Sports de la wilaya de Mostaganem, en coordination avec la ligue des activités culturelles et artistiques, ce festival vise à découvrir et perfectionner les talents dans le domaine poétique et littéraire, à encourager les jeunes poètes, à développer leurs capacités linguistiques et stylistiques, et à promouvoir le goût artistique dans ce genre littéraire, ont précisé les organisateurs.
