Bolivie : deux blessés dans des heurts entre partisans de Morales et habitants

dknews
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Riot police fire tear gas as supporters of the Movimiento Al Socialismo (MAS) party, of Bolivian President Evo Morales, confront supporters of the Comunidad Ciudadana (CC) opposition party, of former presidential candidate Carlos Mesa, during a strike in Santa Cruz on October 28, 2019. - The platform gathering the regional civic committees (Conade), demanded the annulment of the controversial general elections in Bolivia, won by President Evo Morales in the first round, and called for new elections with a new electoral court. (Photo by DANIEL WALKER / AFP) / “The erroneous mention appearing in the metadata of this photos by DANIEL WALKER has been modified in AFP systems in the following manner: [in Santa Cruz] instead of [in La Paz]. Please immediately remove the erroneous mention from all your online services and delete them from your servers. If you have been authorized by AFP to distribute it (them) to third parties, please ensure that the same actions are carried out by them. Failure to promptly comply with these instructions will entail liability on your part for any continued or post notification usage. Therefore we thank you very much for all your attention and prompt action. We are sorry for the inconvenience this notification may cause and remain at your disposal for any further information you may require.”

Des affrontements ont éclaté mardi dans le sud de la Bolivie entre partisans de l’ancien président Evo Morales et des habitants qui tentaient de dégager une route bloquée, faisant deux blessés, selon la police locale.
Les soutiens de M.Morales bloquent depuis le 2 juin plusieurs routes du pays, exigeant la démission du président Luis Arce, qu’ils accusent d’être responsable de la crise économique et de manipuler les institutions pour empêcher leur leader de participer à la présidentielle du 17 août.
Les manifestants « s’en sont pris à la population, ce qui a causé deux blessés », a déclaré le colonel César Limbert Choque, porte-parole de la police du département de Potosi, à Radio Fides.
Les heurts ont éclaté dans la ville minière de Llallagua, a-t-il précisé.
Evo Morales n’a pas pu s’inscrire à l’élection d’août car le parti qu’il avait choisi pour se présenter ne dispose pas de statut légal reconnu par les autorités électorales.
Dans tous les cas, une décision de justice limite à deux le nombre de mandats présidentiels.
Evo Morales a dirigé le pays à trois reprises entre 2006 et 2019.

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