Conseil de la nation : M. Azzouz Nasri élu président et de nouveaux membres installés (SYNTHESE)

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M. Azzouz Nasri a été élu, lundi, nouveau président du Conseil de la nation lors d’une séance plénière qui a également vu l’installation de nouveaux membres du Conseil. Cet événement s’inscrit dans le cadre du renouvellement par moitié de la composante du Conseil pour l’année 2025. Présidée par M. Hamma Chouchane, doyen d’âge, la séance a ainsi débuté par l’appel nominatif de tous les nouveaux membres, suivi de l’élection des membres de la Commission de validation des mandats, composée de 20 membres, conformément au règlement intérieur du Conseil de la nation, puis du lancement de l’élection du président du Conseil.

 Conformément à l’article 122 de la Constitution, le mandat du Conseil de la nation est de six ans, renouvelable par moitié tous les trois ans. Ce renouvellement fait suite aux élections du 9 mars dernier, dont les résultats ont été validés par la Cour constitutionnelle le 13 mars. M. Azzouz Nasri, candidat du groupe parlementaire du tiers présidentiel, a été plébiscité par l’ensemble des groupes parlementaires représentés. Ancien Premier président de la Cour suprême et membre du Conseil constitutionnel, M. Nasri a été nommé membre du tiers présidentiel en 2022. L’élection de M. Nasri intervient conformément à l’article 134 de la Constitution qui prévoit l’élection du président du Conseil de la nation après chaque renouvellement partiel, sous réserve de remplir les conditions de l’article 87 de la Constitution.

Dans son allocution, le nouveau président a exprimé sa « profonde gratitude et reconnaissances envers le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour son engagement constant à renforcer la place du pouvoir législatif dans le système de gouvernance et sa valorisation permanente de son rôle central dans la consécration de l’Etat de droit et l’ancrage de la pratique démocratique ». A cet égard, il a salué l’attention particulière que porte le président de la République à l’institution parlementaire, ce qui dénote, a-t-il dit, « sa profonde conviction de l’importance de l’équilibre institutionnel et sa volonté politique sincère de moraliser et de rajeunir le pouvoir législatif, en rehaussant sa place dans l’édifice institutionnel de l’Etat et en encourageant l’alternance démocratique responsable ». Il a affirmé sa volonté d’être un « président rassembleur de tous les membres du Conseil, quelles que soient leur obédience politique et leur affiliation parlementaire, en vue de consolider son caractère démocratique et pluraliste ».

Le nouveau président du Conseil de la nation salue l’intérêt accordé par le président de la République à l’institution parlementaire

Le nouveau président du Conseil de la nation, M. Azzouz Nasri, a salué, lundi, l’intérêt accordé par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à l’institution parlementaire, et son engagement à renforcer la place du pouvoir législatif dans le système de gouvernance. Dans une allocution à l’issue de son plébiscite à la tête du Conseil de la nation, par les groupes parlementaires représentés au Conseil, M. Nasri a remercié les membres du Conseil pour la confiance placée en sa personne, affirmant sa volonté d’être un « président rassembleur de tous les membres du Conseil, quelles que soient leur obédience politique et leur affiliation parlementaire, en vue de consolider son caractère démocratique et pluraliste ».

Il a également exprimé sa « profonde gratitude et reconnaissance au président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour son engagement constant à renforcer la place du pouvoir législatif dans le système de gouvernance et sa valorisation permanente de son rôle central dans la consécration de l’Etat de droit et l’ancrage de la pratique démocratique ». A cet égard, il a salué l’attention particulière que porte le président de la République à l’institution parlementaire, ce qui dénote, a-t-il dit, « sa profonde conviction de l’importance de l’équilibre institutionnel et sa volonté politique sincère de moraliser et de rajeunir le pouvoir législatif, en rehaussant sa place dans l’édifice institutionnel de l’Etat et en encourageant l’alternance démocratique responsable ».

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