La Division sécurité et sûreté de la CAF a tenu une réunion stratégique avec les 16 clubs concernés par les matchs retour des quarts de finale de la Ligue des champions et de la Coupe de la Confédération 2024-25, prévus mardi et mercredi, a indiqué l’instance dirigeante du football africain.
« A l’approche des matchs retour des quarts de finale de la Ligue des Champions et de la Coupe de la Confédération, la Division sécurité et sûreté de la CAF a tenu une réunion stratégique avec les Associations Membres concernées, les hauts responsables des clubs ainsi que divers acteurs impliqués dans les 16 clubs encore en lice cette semaine », précise le communiqué de la CAF.
Dr Christian Emeruwa, responsable du Département sécurité et sûreté de la CAF, a indiqué que cette rencontre avait pour objectif de favoriser l’harmonisation des actions, de renforcer la coopération entre les parties prenantes, et de poursuivre l’amélioration des dispositifs opérationnels mis en place pour les quarts de finale ainsi que les prochaines phases des compétitions interclubs de la CAF.
Dr Emeruwa a souligné l’importance pour la CAF de réunir les clubs et leurs représentants de haut niveau, y compris les responsables en charge de la sécurité, afin d’examiner de manière approfondie les plans mis en œuvre pour ces rencontres. L’objectif principal étant d’assurer la stricte application des mesures de sécurité dans les stades, garantissant ainsi la protection des supporters, des acteurs du jeu, ainsi que du grand public.
Lors de cette réunion, la CAF a réaffirmé son engagement ferme en faveur de la création d’un environnement sécurisé dans les enceintes sportives, au bénéfice des joueurs, des officiels, des parties prenantes et des spectateurs, souligne la même source.
» Au cours des derniers mois, la CAF a mobilisé d’importantes ressources humaines et matérielles pour renforcer les capacités à travers des ateliers de formation, des réunions régulières et l’implication d’experts internationaux dans un objectif de partage de connaissances et d’élévation du niveau de sécurité dans les infrastructures sportives », conclut l’instance suprême du football africain.
