Deux Palestiniens sont tombés en martyrs sous les balles des forces d’occupation sionistes, mardi soir à Beit Hanoun, au nord de la bande de Ghaza, a rapporté l’agence de presse Wafa.
Le jeune Palestinien, Ahmed Eid Abdel Aziz Al-Masry, est tombé en martyr sous les balles tirées de l’intérieur des véhicules de l’armée sioniste qui ont pénétré dans la rue Al-Masryeen à Beit Hanoun, tandis que l’autre victime, Hanin Al-Kafarna est tombée en martyre sous les balles des forces d’occupation sionistes à Beit Hanoun, a souligné Wafa.
Plus tôt dans la journée, des sources médicales ont annoncé que le bilan dans la bande de Ghaza s’élevait à 48 405 martyrs, depuis le début de l’agression sioniste le 7 octobre 2023.
Agressions sionistes contre Ghaza : le bilan s’élève à 48405 martyrs et 111835 blessés
Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s’est élevé à 48.405 martyrs et 111.835 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué mardi les autorités palestiniennes de la santé.
Les mêmes sources, citées par l’agence palestinienne de presse, ont indiqué que le nombre martyrs s’est alourdi à plus de 48405 et celui des blessés, à 111835 depuis le début de l’agression, ajoutant qu’un grand nombre de victimes se trouvent encore sous les décombres et sur les routes, et que les équipes de secours ne peuvent pas atteindre.
Les autorités palestiniennes de la santé ont souligné que 8 corps de martyrs ont été récupérés et 11 blessés ont été évacués vers les hôpitaux de Ghaza au cours des dernières 48 heures.
Un précédent bilan, faisait état de plus de 48397 martyrs et 111824 blessés.
Interdiction sioniste de l’aide à Ghaza, une violation du droit international (Slovénie)
La Slovénie a qualifié mardi, la décision de l’occupation sioniste d’interdire l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Ghaza, de « violation flagrante » du droit international.
Dans un communiqué, relayé par l’agence palestinienne de presse, Wafa, le ministère slovène des Affaires étrangères a indiqué que la décision d’interdire l’accès complet de l’aide humanitaire à Ghaza « pourrait conduire à une catastrophe humanitaire affectant gravement les civils déjà touchés », soulignant que de telles mesures constituaient une « violation claire » du droit international, en particulier du droit international humanitaire et des droits de l’homme.
La diplomatie slovène a en outre insisté sur la nécessité de garantir un accès sûr et sans entraves pour les organisations humanitaires à la population palestinienne de Ghaza, qui a un besoin urgent d’aide.
Le ministère a réaffirmé à l’occasion, son soutien à tous les efforts diplomatiques en vue d’un cessez-le-feu permanent, ce qui permettra le début de la reconstruction de l’enclave palestinienne, dévastée par plus de 15 mois d’agression sioniste.
UNRWA : 260.000 enfants à Ghaza scolarisés à distance depuis le début de l’année 2025
L’Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a déclaré que près de 260.000 enfants de la bande de Ghaza ont rejoint son programme d’apprentissage à distance depuis janvier dernier.
« Près de 260.000 enfants se sont inscrits au programme d’apprentissage à distance de l’agence (onusienne) depuis janvier dernier », a écrit l’UNRWA dans un message publié lundi soir sur les réseaux sociaux.
L’agence onusienne a également ajouté que ses équipes « continuent de fournir un soutien psychologique et social dans la région centrale et Khan Younis ».
Elle a souligné, dans ce sens, qu’elle avait « aidé plus de 15.000 cas depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu », le 19 janvier à Ghaza, « permettant ainsi à des milliers de déplacés de retourner dans leurs quartiers et leurs maisons détruites ».
Le 23 février dernier, la nouvelle année scolaire a débuté dans la bande de Ghaza, au milieu des défis majeurs posés par l’agression génocidaire sioniste qui a ravagé l’enclave palestinienne pendant plus de 15 mois, rappelle, par ailleurs, l’UNRWA.
A noter que 95% des bâtiments scolaires et éducatifs ont subi divers dommages, tandis que 85% d’entre eux sont devenus inutilisables en raison de leur destruction totale ou partielle pendant l’agression sioniste.
