Salon national du livre à Oran : L’Académie algérienne de langue arabe offre une collection de ses publications à deux établissements culturel et universitaire

L’Académie algérienne de la langue arabe a fait don d’une collection de ses publications à deux établissements culturel et universitaire, ainsi qu’aux visiteurs de son stand, lors du Salon national du livre, qui clôturera ses activités, lundi soir au Musée public national d’Art moderne et contemporain (MaMo) à Oran.
L’Académie algérienne de la langue arabe, qui prend part à cette manifestation culturelle, a remis une série de publications précieuses à la Maison de la culture et des arts « Zeddour Brahim El-Kacem » et à l’Université d’Oran 1 « Ahmed Ben Bella », afin d’enrichir les rayons de leurs bibliothèques, a précisé à l’
APS
la directrice adjointe à l’édition et à la distribution de l’Académie, Nadjet Diab, en marge de la remise de ce don.
Chacun de ces deux établissements bénéficié de plus de 80 publications comprenant des livres à caractère académique sur la langue arabe, ainsi que des ouvrages sur la linguistique arabe de l’auteur, le défunt Abderrahmane Hadj-Salah, ainsi que des numéros (du premier au 38ème) de la revue trimestrielle éditée par l’Académie, a fait savoir Mme Diab.
L’Académie algérienne de la langue arabe a offert, également, six autres livres récents publiés par la Maison de la culture et des arts à l’Université d’Oran 1, selon la directrice adjointe à l’édition et à la distribution.
Elle a ajouté que des livres ont été offerts également à plus de 50 visiteurs, étudiants et enseignants, qui se sont rendus sur le stand de l’Académie, lequel présente de nouvelles et anciennes publications au Salon national du livre.
Cette manifestation culturelle, organisée sous le slogan « Oran lit », réunit plus de 90 éditeurs nationaux qui exposent leurs dernières publications dans divers domaines intellectuels, scientifiques, littéraires et historiques.
Cet événement, qui a duré une semaine, est organisé par le ministère de la Culture et des Arts à travers l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC), indique-t-on.