Environ 59 organisations opérant au Yémen ont exprimé leur préoccupation quant aux conséquences des frappes aériennes sionistes contre des infrastructures civiles essentielles, notamment l’aéroport international de Sanaa, les centrales électriques de Sanaa et de Hodeidah, ainsi que les ports maritimes de Hodeidah et de ses environs, le jeudi 26 décembre.
« Ces attaques contre des infrastructures vitales rappellent cruellement l’importance du respect du droit international humanitaire, en particulier la nécessité de protéger les portes d’entrée aériennes et maritimes civiles essentielles, indispensables à la survie de millions de Yéménites », indiquent les ONG dans un communiqué, publié mardi.
Elles ont appelé au « respect du droit international humanitaire, afin de garantir la protection des infrastructures civiles qui fournissent des services essentiels indispensables à la survie de millions de civils au Yémen ».
« Les conséquences des attaques contre les installations civiles seront graves et durables pour les civils yéménites, déjà épuisés par un conflit qui dure depuis dix ans », ont-elles prévenu.
