Le Conseil des ministres a approuvé, dimanche, en réunion présidée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, le statut particulier des corps médical et paramédical, indique un communiqué du Conseil des ministres.
« A l’issue de l’exposé présenté par le ministre du secteur sur la teneur de la loi, le Conseil des ministres a approuvé le statut particulier des corps médical et paramédical, qui englobe les médecins spécialistes, les médecins généralistes, les chirurgiens-dentistes, les pharmaciens, les paramédicaux, les sages-femmes, les anesthésistes, les biologistes, les psychologues, les professeurs d’enseignement paramédical, et les physiologistes ».
Dans ce sillage, « Monsieur le président de la République a félicité les corps de ce secteur stratégique et vital de la Nation, pour l’achèvement de l’élaboration de la mouture finale de la loi, souhaitant que cette dernière contribue à une meilleure compréhension et prise en charge des préoccupations des hommes et femmes du secteur, et à l’amélioration de leur performance ».
Le Président de la République a également salué « le haut degré de responsabilité ayant prévalu entre toutes les parties pour aboutir à cette mouture finale de la loi », conclut le communiqué.
Conseil des ministres : Approbation de la proposition de promotion de trois dairas et d’une commune au rang de circonscription administrative
Le Conseil des ministres a approuvé, dimanche, en réunion présidée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, la proposition de promotion de trois dairas et d’une commune au rang de circonscription administrative.
Le Conseil des ministres a approuvé la proposition de promotion au rang de circonscription administrative gérée par un wali délégué, des dairas d’El Kantara (wilaya de Biskra), de Bir El Ater (wilaya de Tebessa) et de Ksar El Boukhari (wilaya de Médéa), ainsi que de la commune d’El Aricha (wilaya de Tlemcen).
La décision de Monsieur le Président de la République s’inscrit dans le cadre de ses « efforts continus visant à généraliser la cadence du développement selon le principe d’équité en matière de prise en charge des préoccupations des citoyens, en tenant compte des spécificités géographiques, sociales et économiques de ces régions, pour être érigées en circonscriptions administratives », selon le communiqué du Conseil des ministres.