L’association A.ASCA NATIONAL fonder en 2015 crée en 2022 par Mr Gueddouche Mohamed (A.ASCA)
continue de rendre des hommages aux sportifs ayant marqué la scène nationale.
Récemment, les membres de l’Association A.ASCA NATIONAL se sont déplacé sur le territoire national et international pour honore des anciens sportif surtout football afin d’honorer et soutenir des anciens joueurs du football national.
Cette sympathique et louable initiative a aussi permis à l’AASCA de sortir du territoire national pour participer à des tournois international soit en Tunisie , Turquie ,Jordanie et d’autre pays Mr Mohamed Gueddouche président de l’association, sonne l’alerte. Pour lui, le sport et pris en otage et qui tirent les ficelles.
Et Participation au tournoi au profit du Feu Kechamli Mokhtar a El Akaba 2019 puis aux championnat Arabes des vétérans en Jordanie 2023 et en 2025 en Tunisie.
Comment est née cette association ?
Qu’est-ce qui a motivé sa création ?
L’idée de départ a été de dire qu’il faut fédérer les acteurs qui s’engagent dans des actions d’insertion par le sport pour donner une autre dimension à ce champ d’activité. Nous avons réuni tous les acteurs concernés par la problématique (villes, fédérations, entreprises et associations) pour créer un espace de dialogue nouveau qui n’existe nulle part sur ce sujet pourtant crucial.
Nous souhaitons porter collectivement une grande ambition pour la jeunesse par le sport à travers des actions fortes qui seront annoncées prochainement. Le sport ne sert pas qu’à faire des champions je vais tout faire pour ressembler tous les acteurs du sport avec l’aide de tout le monde on va arriver.
Qu’est-ce que la performance sociale du sport ? Quel est le constat de départ ?
J’ai passé presque toute ma vie dans le monde du sport c’est pour cette raison que J’ai opté pour créer l’association A.ASCA 2015 mais il a été fondé en 2022 et concernant l’activité sportive et l’éducation, à valoriser des centaines d’acteurs, les pionniers de l’éducation par le sport, des acteurs de l’ombre qui réparent le pays par le sport.
Le parcours sportif dans le sport amateur a une grande valeur, on apprend à se connaitre, à se fixer des objectifs, à travailler ensemble pour l’autre, à fabriquer du collectif. Mais un des gros problèmes est que ce parcours n’est pas ou peu financé ! Imaginez une école avec des professeurs bénévoles, ça ne tiendrait pas longtemps, eh bien c’est ce qui se passe dans le sport .
Dans un autre espace, toutes les entreprises parlent du savoir être, le sport est sans doute la première école de savoir-être. Hélas, ce secteur fait face à une difficulté majeure : peu de gens connaissent les bons acteurs qui font des miracles dans nos villes. On en reste trop souvent à vanter les mérites des acteurs sans forcément les aider et les accompagner.
Un des principaux défis est de faire des clubs amateurs ou des associations des acteurs de l’économie sociale et solidaire. Nous allons faire rapidement des propositions sur le sujet.
Quels sont les acteurs qui se distinguent sur la performance sociale du sport ?
Le projet du 2022 qui va accueillir les jeunes est les anciens sportif, Unis vers le sport à l’échelle national et international qui va suivre plus des footballeurs de haut niveau et les ex internationaux par an est typiquement ce que peut faire le sport en matière d’inclusion avec des éducateurs sportifs de très grande qualité.
« La balle rond est à vous », projet porté par l’association AASCA National, qui va former des jeunes sans diplômes sur des métiers du sport Roi sera sans doute un des grands projets portés par association qui servira de modèle par la suite.
Enfin, le projet porté par A.ASCA pour le sport autour du métier de coach d’insertion des jeunes permettra à des milliers d’éducateurs de faire évoluer leur métier et d’accompagner vers l’emploi des jeunes qui en sont éloignés. Mais il y a partout en Algérie et dans l’international un nombre considérable d’acteurs qui font des choses puissantes avec le sport.
Pourquoi avoir créé cette association nationale ?
Les acteurs sportifs locaux sont aujourd’hui pour beaucoup en difficulté avec peu de perspectives de changer de modèle, et le projet subventionné est de moins en moins tenable. Les éducateurs sportifs, qui sont la cheville ouvrière du club, vivent pour beaucoup dans la précarité, sans formation professionnelle. Le sport professionnel doit demain participer à ce grand projet.
Il est indispensable d’agir vite en accompagnant ces acteurs de l’ombre qui s’engagent sur des enjeux prioritaires du pays comme l’insertion, la formation….
Ils n’ont pas de statuts, ils sont très mal payés, leur formation professionnelle n’existe pas, alors que ce sont parmi les meilleurs éducateurs du monde. Il est temps de retisser un lien fort avec le monde sportif professionnel qui s’est trop éloigné de ces acteurs clefs qui représentent la base même du sport.
Par exemple, les champions pourraient être plus présents au côté des éducateurs, certains pourrait développer de grands programmes pour la jeunesse.
Tout est à créer, tout est à écrire, ce qui ne s’écrit pas a peu de chance de se réaliser. Le champ est ouvert, mais il faut maintenant un très gros travail avec l’aide de tout le monde on va arriver inchallah.
Quels seront les premières missions de l’association ?
L’association vient d’être lancée, il faut créer une ambiance avec des gens engagés et motivés. Nous allons élargir le cercle des acteurs, lancer très rapidement un appel aux villes, entreprises, associations et fédérations, mais nous avons déjà beaucoup de demande.
Nous allons également poursuivre. Pour l’année 2025, nous réunirons tous les membres pour définir la feuille de route de notre projet.
Mais attendez-vous à des projets très ambitieux dans leur forme, et surtout pour construire un grand programme de la performance sociale du sport dans notre pays. On ne peut plus mégoter quand on parle d’éducation et d’insertions des jeunes
Le phénomène de la violence a refait surface, qu’en dites-vous ?
On est en train de combattre ce problème uniquement par le huis clos. Les causes de la violence sont multiples et connues. Il y a d’abord les déclarations incendiaires des dirigeants, qui influent sur le comportement des jeunes supporters, qui sont très faciles à manipuler.
Il y a ensuite la gestion des stades, une gestion parallèle imposée par des pseudo-supporters qui dictent leur loi La meilleure solution pour nous pour se rapprocher de ces jeunes est d’aller directement dans les quartiers et discuter en toute franchise avec eux afin de pouvoir recenser leurs problèmes et leurs attentes.
Et ce n’est qu’à partir de là qu’on pourra élaborer un programme d’action. Cette jeunesse a besoin d’attention, mais aussi d’interlocuteurs qui savent l’écouter et la suivre dans son propre environnement et surtout une stratégie de prise en charge des jeunes avec des propositions concrètes pour lutter contre le sentiment de marginalisation», a déclaré M. Gueddouche, et de préciser encore : «Cet encadrement de la jeunesse doit se faire, notamment, par le biais d’éducateurs chargés d’orienter les jeunes et de découvrir des talents dans différents domaines afin de les aider à s’exprimer et à s’épanouir.» A signaler que l’association A.ASCA a encouragé à prendre des résolutions pour participer à l’organisation des jeunes.
D’ailleurs, elle a ouvert des chantiers pour apprendre à des jeunes les techniques de restauration du bâtiment. «Aussi, je propose d’installer des cellules d’écoute et d’orientation des jeunes dans chaque quartier», a-t-il ajouté. Ensuite, il a souligné qu’il ne peut nullement régler le problème de la violence ou autre problème des quartiers avec un simple tournoi sportif ou un concert de chants. «Oui, c’est vrai c’est l’une des solutions, mais elle ne peut résoudre à elle seule la question. Je pense qu’il faut s’attaquer aux causes de ces problèmes, pas à leurs effets, parce que tout le monde doit être responsable.
Il existe une volonté pour bien faire, mais ça reste insuffisant», ajoutera le président de l’association.
Mais il faut implique les associations sportive …
C’est vrai. Aujourd’hui, on a affaire à des videurs qui enfilent les chasubles et partent à la chasse des arbitres, des joueurs adverses et des journalistes qui n’ont pas rédigé des articles dans le sens souhaité par le club. Le club des supporters a un grand rôle à jouer quand il est élu, malheureusement il s’autoproclame chez nous. Où va-t-on comme ça ? Où sont la FAF et la Ligue dans tout ça et que font-elles pour remettre de l’ordre dans la maison ? Le huis clos ne résout pas la violence. On parle de professionnalisme avec des esprits d’amateurs.