Plusieurs établissements de santé publique nécessitent des travaux réhabilitation dans la wilaya de Tizi – Ouzou.
En effet, poursuivant son programme entamé, il y a quelques semaines et visant l’inspection des structures de santé, une délégation de l’APW de Tizi- Ouzou s’est rendue, hier, dans les communes de Fréha et d’Aghribs.
Il s’agit des membres de la commission santé de l’Assemblée de wilaya qui a effectué ainsi une visite d’inspection aux polycliniques Des deux localités précitées.
La délégation, conduite par Hachimi Radjef, président de la commission santé à l’APW, en compagnie des directeurs des EPSP de Freha et d’Azzefoun et des autorités locales a eu à visiter les deux structures et discuter avec les responsables.
La polyclinique de freha qui était à l’origine un centre de santé et qui fonctionne en H24 mais, sans radiologie souffre de l’exigüité en plus de l’accès difficiles aux urgences car, donnant sur une artère de la ville, ont souligné les élus de l’APW qui noté également la dégradation de la structure. « Après débat avec les autorités locales, il en ressort que l’inscription d’une nouvelle polyclinique s’avère l’unique solution pour assurer une bonne prise en charge de la population locale », ont-ils fait remarquer. Après débat avec les autorités locales, il en ressort que l’inscription d’une nouvelle polyclinique s’avère l’unique solution pour assurer une bonne prise en charge de la population locale, ont-ils aussi relevé.
Pour ce qui est de la polyclinique d’Agouni Oucharki, chef-lieu de la commune d’Aghribs, relevant de la daïra d’Azeffoun, qui fonctionne en H24 avec un plateau technique, l’espace existe néanmoins le manque de consultations spécialisée et les dégradations pénalisent la population de cette localité, d’où la nécessité une opération de réhabilitation et le renforcement du réseau électrique ainsi que son extension, a-t-il été recommandé par les élus de l’Assemblée de wilaya. Ces derniers ont, pour rappel, effectué, il y a une semaine, aussi une visite aux polycliniques de la daïras de Mekla où ils ont fait un constat alarmant sur la situation de ces établissements de santé publique.
«L’activité polyclinique de Mekala est réduite à celle d’un centre de santé, tout comme celle de Souamaâ. Celle de Djamaâ Saharidj est dépourvue de consultations spécialisées », ont fait savoir les élus de l’APW qui recommandent une réhabilitation urgente de ces infrastructures de santé.
